Espace, mobilité et désordre — vol. 1, no 1, automne 2017
Regards
Où Saint-Henri tape la pierre et tisse l’acier
L’oeuvre en contexte
Ce court métrage a été réalisé par Erwan Geffroy et Mathieu Li-Goyette dans le cadre de l’Incubateur urbain mis sur pied par l’organisme Montréal Ville en mouvement à l’automne 2015 dans le quartier Saint-Henri. Fruit d’un partenariat avec le Laboratoire sur les récits du soi mobile de l’Université de Montréal, ce projet souhaitait donner la parole aux citoyens de l’arrondissement afin qu’ils puissent s’exprimer sur leur paysage urbain et la façon dont ils l’habitent. Des équipes d’urbanistes ont ensuite travaillé à des projets pouvant répondre à ces problématiques. Le rôle du Laboratoire sur les récits du soi mobile était de circonscrire des témoignages sur vidéo ainsi que de sonder l’imaginaire des lieux à partir de projets de création et de rencontres avec les gens qui le façonnent. Où Saint-Henri tape la pierre et tisse l’acier nous donne un aperçu de l’univers du sculpteur Jean Brillant, créateur de nombreuses sculptures monumentales disposées dans les parcs du quartier.
Réalisateurs
Erwan Geffroy est doctorant en cotutelle entre l’Université de Montréal (Faculté des arts et des sciences, Département de littératures et de langues du monde, sous la direction de Jean-Marc Larrue) et l’Université Rennes 2 (École doctorale Arts, lettres, langues, unité de recherche Histoire et critique des arts, sous la direction de Pierre-Henry Frangne). Il étudie, pour sa thèse, l’intermédialité et les pratiques artistiques modernes et contemporaines. Il est, en parallèle, graphiste et auxiliaire de recherche pour Technès, le Grafics et le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ), ainsi que membre étudiant du Centre de recherches intermédiales sur les arts, les lettres et les techniques (CRIalt). Il fut coordonnateur et chargé de projets pour le Laboratoire sur les récits du soi mobile (LRSM) de mai 2015 à octobre 2016. Il y fut notamment l’initiateur du projet Catalyseur d’imaginaires urbains (CIU) et coconcepteur de celui-ci, ainsi que coconcepteur, coréalisateur et coresponsable de la Résidence d’artistes mobile (RAM) 2016. Il fut également musicien au plateau dans la Compagnie l’Aronde (Rennes, France) pour la pièce Zig et More (texte: Marine Auriol; m.e.s.: Gaëlle Héraut; composition: Éric Thomas) ainsi qu’artiste salarié (pépin) de l’association PointBarre (Bordeaux, France). Il est enfin détenteur d’un Diplôme national supérieur d’expression plastique obtenu à l’École européenne supérieure d’art de Bretagne (France) en 2011.
Détenteur d’une maîtrise en littérature comparée, Mathieu Li-Goyette est rédacteur en chef de la revue en ligne Panorama-cinéma ainsi que chroniqueur BD à l’émission Pop-en-stock sur les ondes de CHOQ.ca. Il s’intéresse aux cinématographies est-asiatiques, aux relations entre Histoire et cinéma, à l’intermédialité ainsi qu’à l’épistémologie de l’art séquentiel. Il a terminé la direction de «L’humanisme d’après-guerre japonais» édité chez Panorama-cinéma en 2010 avant de diriger «Nikkatsu: 100 ans de rébellion» en 2012. Autrefois pigiste, il a été responsable du blogue Télévision chez MSN.ca, rédacteur de contenu pour Espresso Communication et ses articles ont été publiés dans les revues Hors Champ, Pop-en-stock et Sentinelle. Membre des conseils d’administration de l’AQCC et de la revue Planches, il a aussi siégé sur le conseil artistique du Cinéma parallèle. À l’Université de Montréal, il est chargé de projet au Laboratoire sur les récits du soi mobile et vient d’entreprendre une thèse de doctorat où il tente de développer une conception ontologique du désir et du temps dans la bande dessinée.
Erwan Geffroy est doctorant en cotutelle entre l’Université de Montréal (Faculté des arts et des sciences, Département de littératures et de langues du monde, sous la direction de Jean-Marc Larrue) et l’Université Rennes 2 (École doctorale Arts, lettres, langues, unité de recherche Histoire et critique des arts, sous la direction de Pierre-Henry Frangne). Il étudie, pour sa thèse, l’intermédialité et les pratiques artistiques modernes et contemporaines. Il est, en parallèle, graphiste et auxiliaire de recherche pour Technès, le Grafics et le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ), ainsi que membre étudiant du Centre de recherches intermédiales sur les arts, les lettres et les techniques (CRIalt). Il fut coordonnateur et chargé de projets pour le Laboratoire sur les récits du soi mobile (LRSM) de mai 2015 à octobre 2016. Il y fut notamment l’initiateur du projet Catalyseur d’imaginaires urbains (CIU) et coconcepteur de celui-ci, ainsi que coconcepteur, coréalisateur et coresponsable de la Résidence d’artistes mobile (RAM) 2016. Il fut également musicien au plateau dans la Compagnie l’Aronde (Rennes, France) pour la pièce Zig et More (texte: Marine Auriol; m.e.s.: Gaëlle Héraut; composition: Éric Thomas) ainsi qu’artiste salarié (pépin) de l’association PointBarre (Bordeaux, France). Il est enfin détenteur d’un Diplôme national supérieur d’expression plastique obtenu à l’École européenne supérieure d’art de Bretagne (France) en 2011.
Détenteur d’une maîtrise en littérature comparée, Mathieu Li-Goyette est rédacteur en chef de la revue en ligne Panorama-cinéma ainsi que chroniqueur BD à l’émission Pop-en-stock sur les ondes de CHOQ.ca. Il s’intéresse aux cinématographies est-asiatiques, aux relations entre Histoire et cinéma, à l’intermédialité ainsi qu’à l’épistémologie de l’art séquentiel. Il a terminé la direction de «L’humanisme d’après-guerre japonais» édité chez Panorama-cinéma en 2010 avant de diriger «Nikkatsu: 100 ans de rébellion» en 2012. Autrefois pigiste, il a été responsable du blogue Télévision chez MSN.ca, rédacteur de contenu pour Espresso Communication et ses articles ont été publiés dans les revues Hors Champ, Pop-en-stock et Sentinelle. Membre des conseils d’administration de l’AQCC et de la revue Planches, il a aussi siégé sur le conseil artistique du Cinéma parallèle. À l’Université de Montréal, il est chargé de projet au Laboratoire sur les récits du soi mobile et vient d’entreprendre une thèse de doctorat où il tente de développer une conception ontologique du désir et du temps dans la bande dessinée.