Espace, mobilité et désordre — vol. 1, no 1, automne 2017
Où va la culture?
Dossier
La mobilité culturelle en question
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ResponsablesSimon Harel (Université de Montréal)
Marie-Christine Lambert-Perreault (Université du Québec à Montréal) Articles«Circulation de la culture métropolitaine cosmopolitique, par canaux et caniveaux: voies, routes, rues, trottoirs»
Jean-François Côté (Université du Québec à Montréal) «Tailler une plume dans un carré rouge: du printemps érable au mouvement Idle No More» Jonathan Lamy Beaupré (CRILCQ, Université Laval) |
Texte introductif téléchargeable ici:
Harel & Lambert-Perreault - Zizanie A17b | |
File Size: | 201 kb |
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Notices biobibliographiques
Simon Harel est professeur titulaire au Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal. Il dirige le Laboratoire sur les récits du soi mobile (LRSM), lieu de convergence médiatique et culturel où les chercheurs et partenaires travaillent avec des outils de captation audiovisuelle pour cerner les réalités et les enjeux de l’espace. Il est codirecteur du Centre de recherche des études littéraires et culturelles sur la planétarité (Université de Montréal). À l’orée du développement du Campus MIL de l’Université de Montréal, le Catalyseur d’imaginaires urbains (CIU), infrastructure de recherche-création dont il est coresponsable, a pour fonction de rassembler les prises de paroles citoyennes (performances publiques, récits de vie) par le biais d’une approche multimédiatique. Depuis quelques années, Harel propose des essais-fictions qui font place à la subjectivité du chercheur, dans une réflexion mettant en cause les lieux communs de l’identité. Auteur d’une quarantaine d’essais, fictions et volumes collectifs, il a publié l’automne dernier Foutue charte. Journal de mauvaise humeur (Varia). Il fait paraître en 2017 Place aux littératures autochtones (Mémoire d’encrier) ainsi que Été 1965. Fictions du hobo (Nota bene).
Boursière du FRQSC et du CRSH, Marie-Christine Lambert-Perreault achève un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux portent sur les imaginaires de la table, la culture végane, le motif de la dévoration et les représentations de la filiation et des affects dans la littérature et les séries télévisées contemporaines. Elle est membre du comité de rédaction de la revue Zizanie, cofondatrice du réseau de recherche «Autour de la table», et a fait paraître le dossier «Raconter l’aliment» (Captures, novembre 2016) avec G. Sicotte. Codirectrice des ouvrages Télé en séries (XYZ, 2017) et La mort intranquille: autopsie du zombie (PUL, à paraître), elle a publié divers articles et chapitres de livres consacrés aux écritures de la mobilité imprégnées par l’Asie de l’Est (Ying Chen, Amélie Nothomb, Aki Shimazaki et Kim Thúy).
Boursière du FRQSC et du CRSH, Marie-Christine Lambert-Perreault achève un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux portent sur les imaginaires de la table, la culture végane, le motif de la dévoration et les représentations de la filiation et des affects dans la littérature et les séries télévisées contemporaines. Elle est membre du comité de rédaction de la revue Zizanie, cofondatrice du réseau de recherche «Autour de la table», et a fait paraître le dossier «Raconter l’aliment» (Captures, novembre 2016) avec G. Sicotte. Codirectrice des ouvrages Télé en séries (XYZ, 2017) et La mort intranquille: autopsie du zombie (PUL, à paraître), elle a publié divers articles et chapitres de livres consacrés aux écritures de la mobilité imprégnées par l’Asie de l’Est (Ying Chen, Amélie Nothomb, Aki Shimazaki et Kim Thúy).