Marginalités fécondes — vol. 3, no 1, automne 2019
L’exil en situation d’exiguïté dans la francophonie internationale
Dossier
Observer le grand à partir du petit
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Responsables
Julie Delorme (Université d’Ottawa)
Simon Harel (Université de Montréal) Textes«Intime et errance dans Écrire en pays dominé de Patrick Chamoiseau et Mes hommes à moi de Ken Bugul»
Morgan Faulkner (Lakehead University) «Le phénomène de l’exiluité et ses conditions de possibilité dans la littérature franco-ontarienne» Julie Delorme (Université d’Ottawa) «Figures de l’exil: contiguïté, exiguïté et exiluité» Simon Harel (Université de Montréal) «De l’infiniment petit en littérature. Espaces nanoscopiques» Daniel Castillo Durante (Université d’Ottawa) |
Texte introductif téléchargeable ici:
Delorme & Harel - Zizanie A19.pdf | |
File Size: | 180 kb |
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Notices biobliographiques
Julie Delorme est professeure à temps partiel au Département de français de l’Université d’Ottawa. Détentrice d’un doctorat en lettres françaises de l’Université d’Ottawa et d’un postdoctorat en littérature comparée de l’Université de Montréal (subventionnés par le CRSH), elle a publié de nombreux articles sur les littératures française, québécoise et franco-ontarienne des XXe et XXIe siècles qui interrogent le rapport entre l’espace (en tant qu’altérité majeure) et la parole littéraire à partir d’une approche essentiellement phénoménologique. Ses recherches actuelles portent notamment sur les écritures de l’enfermement et de l’exil.
Simon Harel est professeur titulaire au Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal. Il est directeur du Laboratoire sur les récits du soi mobile et codirecteur du Centre de recherche des études littéraires et culturelles sur la planétarité. Depuis quelques années, Harel propose des essais-fictions qui font place à la subjectivité du chercheur, dans une réflexion mettant en cause les lieux communs de l’identité. Directeur d’ouvrages collectifs, auteur de nombreux essais, écrivain, responsable de numéros de revues, il a plus de cinquante publications à son actif. Il a fait paraître récemment La respiration de Thomas Bernhard (Nota bene, 2019), Signaux faibles (2019), un ouvrage tiré à compte d’auteur et à édition limitée avec Marie-Christiane Mathieu, et La mort intranquille: autopsie du zombie (PUL, 2019), codirigé avec Jérôme-Olivier Allard et Marie-Christine Lambert-Perreault.
Simon Harel est professeur titulaire au Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal. Il est directeur du Laboratoire sur les récits du soi mobile et codirecteur du Centre de recherche des études littéraires et culturelles sur la planétarité. Depuis quelques années, Harel propose des essais-fictions qui font place à la subjectivité du chercheur, dans une réflexion mettant en cause les lieux communs de l’identité. Directeur d’ouvrages collectifs, auteur de nombreux essais, écrivain, responsable de numéros de revues, il a plus de cinquante publications à son actif. Il a fait paraître récemment La respiration de Thomas Bernhard (Nota bene, 2019), Signaux faibles (2019), un ouvrage tiré à compte d’auteur et à édition limitée avec Marie-Christiane Mathieu, et La mort intranquille: autopsie du zombie (PUL, 2019), codirigé avec Jérôme-Olivier Allard et Marie-Christine Lambert-Perreault.