Mondialisme et littérature — vol. 2, no 1, automne 2018
Mondialisme et littérature
Dossier
De la littérature comparée à la littérature planétaire
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Responsables
Simon Harel (Université de Montréal)
Marie-Christine Lambert-Perreault (Université du Québec à Montréal) Articles«Pour une littérature comparée différentielle et située. La traduction, outil pour construire les comparables»
Myriam Suchet (Université Sorbonne Nouvelle Paris 3, Centre d’études québécoises) «Ce qu’il reste de l’esprit littéraire» Terry Cochran (Université de Montréal) «L’intrusion des médias dans la littérature antillaise francophone: une anthropologie du quotidien réinventée à l’ère de la mondialisation» Nella Arambasin (Université Bourgogne-Franche-Comté) «Visions cyniques de la mondialisation chez Beigbeder» Louise Kari-Méreau (Trinity College Dublin) «Les études littéraires à l’ère de la mondialisation: traces et trajets au prisme des nouveaux observables numériques» Carolina Ferrer (Université du Québec à Montréal) «Artaud/Rimbaud: guerres planétaires et étincelle astrale» Simon Harel (Université de Montréal) |
Texte introductif téléchargeable ici:
Harel & Lambert-Perreault - Zizanie A18 | |
File Size: | 173 kb |
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Notices biobliographiques
Simon Harel est professeur titulaire au Département de littératures et de langues du monde de l’Université de Montréal. Il est directeur du Laboratoire sur les récits du soi mobile, codirecteur du Centre de recherche des études littéraires et culturelles sur la planétarité et coresponsable du Catalyseur d’imaginaires urbain, une infrastructure de recherche-création qui a pour fonction de rassembler les prises de parole citoyennes (performances publiques, récits de vie) par le biais d’une approche multimédiatique. Depuis quelques années, Harel propose des essais-fictions qui font place à la subjectivité du chercheur, dans une réflexion mettant en cause les lieux communs de l’identité. Codirecteur de Télé en séries (XYZ Éditeur, 2017) et auteur d’une quarantaine d’ouvrages, il a récemment publié Foutue charte. Journal de mauvaise humeur (Varia, 2017), Place aux littératures autochtones (Mémoire d’encrier, 2017) et Été 1965. Fictions du hobo (Nota bene, 2017); il publiera en 2019 La respiration de Thomas Bernhard chez Nota bene et La mort intranquille: autopsie du zombie (en codirection avec Jérôme-Olivier Allard et Marie-Christine Lambert-Perreault, Presses de l’Université Laval). Troisième vie, un roman à paraître en 2019 aux Éditions Triptyque, est une fiction rédigée à quatre mains avec Claire Caland.
Boursière du FRQSC et du CRSH, Marie-Christine Lambert-Perreault achève un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux portent sur les imaginaires de la table, la culture végane, le motif de la dévoration et les représentations de la filiation et des affects dans la littérature et les séries télévisées contemporaines. Elle est membre du comité de rédaction de la revue Zizanie, dont elle est aussi la secrétaire de rédaction, et cofondatrice du réseau de recherche «Autour de la table». Elle a fait paraître le numéro «Espace, mobilité et désordre» (Zizanie, 2017) avec S. Harel et le dossier «Raconter l’aliment» (Captures, 2016) avec G. Sicotte. Codirectrice des ouvrages Télé en séries (XYZ, 2017) et La mort intranquille: autopsie du zombie (PUL, à paraître), elle a publié des articles et chapitres de livres consacrés aux écritures de la mobilité imprégnées par l’Asie de l’Est (Ying Chen, Amélie Nothomb, Aki Shimazaki et Kim Thúy).
Boursière du FRQSC et du CRSH, Marie-Christine Lambert-Perreault achève un doctorat en études littéraires à l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux portent sur les imaginaires de la table, la culture végane, le motif de la dévoration et les représentations de la filiation et des affects dans la littérature et les séries télévisées contemporaines. Elle est membre du comité de rédaction de la revue Zizanie, dont elle est aussi la secrétaire de rédaction, et cofondatrice du réseau de recherche «Autour de la table». Elle a fait paraître le numéro «Espace, mobilité et désordre» (Zizanie, 2017) avec S. Harel et le dossier «Raconter l’aliment» (Captures, 2016) avec G. Sicotte. Codirectrice des ouvrages Télé en séries (XYZ, 2017) et La mort intranquille: autopsie du zombie (PUL, à paraître), elle a publié des articles et chapitres de livres consacrés aux écritures de la mobilité imprégnées par l’Asie de l’Est (Ying Chen, Amélie Nothomb, Aki Shimazaki et Kim Thúy).