Rencontres interespèces et hybridations: l’animal et l’humain — vol. 4, no 1, automne 2020
Rencontres interespèces et hybridations: l’animal et l’humain
Dossier
L’animal·e et l’humain·e, aux sources de la réflexion[1]
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[1] Ce texte introductif est inspiré de l’appel à communications rédigé par Jérôme-Olivier Allard, Fanie Demeule, Marion Gingras-Gagné et Marie-Christine Lambert-Perreault (2017) en regard du colloque L’animal et l’humain. Représenter et interroger les rapports interespèces.
BibliographieAgamben, Giorgio. 2002. L’ouvert. De l’homme et l’animal. Paris: Payot & Rivages, 142 p.
Allard, Jérôme-Olivier, Fanie Demeule, Marion Gingras-Gagné et Marie-Christine Lambert-Perreault. 2017. « Appel à communications ». Colloque L’animal et l’humain. En ligne. https://animalethumain.weebly.com/appel.html. Crutzen, Paul J. et Eugene F. Stoermer. 2000. « The “Anthropocene” ». Global Change, NewsLetter (IGBP), no 41, mai, p. 17-18. Delon, Nicolas. 2015. « Études animales: un aperçu transatlantique », Tracés. Revue de Sciences, humaines, dossier « Traduire et introduire », no 15, hors-série, p. 187-198. |
Responsables
Fanie Demeule (Université du Québec à Montréal)
Marion Gingras-Gagné (Université du Québec à Montréal)
Marion Gingras-Gagné (Université du Québec à Montréal)
Textes
«Horse’s Tale de Julie Rrap: quoi penser quand une femme porte la queue d’un cheval?»
Valérie Bienvenue (Université de Montréal)
«Repenser la communauté: la relation interespèces dans trois pièces chorales contemporaines»
Philippe Manevy (Université de Montréal)
«Anima[L]: les formes marionnettiques comme outil de représentation et de subversion de l’animalité»
Dinaïg Stall (Université du Québec à Montréal, École supérieure de théâtre)
«Animal et tradition chrétienne: avec Hélène et Jean Bastaire et André Beauchamp»
Jean-Baptiste Bernard (Université de Zagreb)
«L’univers de la prédation dans La vraie vie d’Adeline Dieudonné: une matérialisation des valeurs socioculturelles constitutives de la pensée spéciste»
Mélanie Maillot (The University of Adelaide)
«Les bienfaits des chiens d’assistance sur le bien-être psychologique des utilisateurs en situation de handicap et leur intégration sociale»
Elisanne Pellerin (Université du Québec à Montréal)
«Hybridité(s) et rapports interespèces dans les écosystèmes de Pierre Huyghe: permettre à d’autres réalités d’exister»
Anne-Sophie Miclo (Université du Québec à Montréal)
«On était vivant ensemble»
Simon Dansereau-Laberge (UQAM et U. Paris 8)
«Brûlures»
Élise Warren (Université du Québec à Montréal)
Valérie Bienvenue (Université de Montréal)
«Repenser la communauté: la relation interespèces dans trois pièces chorales contemporaines»
Philippe Manevy (Université de Montréal)
«Anima[L]: les formes marionnettiques comme outil de représentation et de subversion de l’animalité»
Dinaïg Stall (Université du Québec à Montréal, École supérieure de théâtre)
«Animal et tradition chrétienne: avec Hélène et Jean Bastaire et André Beauchamp»
Jean-Baptiste Bernard (Université de Zagreb)
«L’univers de la prédation dans La vraie vie d’Adeline Dieudonné: une matérialisation des valeurs socioculturelles constitutives de la pensée spéciste»
Mélanie Maillot (The University of Adelaide)
«Les bienfaits des chiens d’assistance sur le bien-être psychologique des utilisateurs en situation de handicap et leur intégration sociale»
Elisanne Pellerin (Université du Québec à Montréal)
«Hybridité(s) et rapports interespèces dans les écosystèmes de Pierre Huyghe: permettre à d’autres réalités d’exister»
Anne-Sophie Miclo (Université du Québec à Montréal)
«On était vivant ensemble»
Simon Dansereau-Laberge (UQAM et U. Paris 8)
«Brûlures»
Élise Warren (Université du Québec à Montréal)
Texte introductif téléchargeable ici:
Demeule et Gingras-Gagné - Zizanie A20.pdf | |
File Size: | 168 kb |
File Type: |
Notices biobliographiques
Fanie Demeule est responsable éditoriale des maisons Tête première et Hamac, spécialisées en fiction littéraire. Chargée de cours à l’UQAM, d’où elle est diplômée du doctorat en études littéraires, elle s’intéresse aux représentations des femmes en fiction contemporaine, à la culture populaire, à la mythocritique et aux récits de soi. Son premier roman, Déterrer les os (Hamac, 2016), a été adapté en pièce de théâtre (Centre du Théâtre d’Aujourd’hui, 2018), a été traduit en anglais (Linda Leith, 2020) et est en cours d’adaptation filmique (court métrage, Coop Vidéo; long métrage, ACPAV). Elle a publié un deuxième roman, Roux clair naturel (Hamac, 2019), présent sur la liste préliminaire du Prix des libraires 2020, a codirigé des collectifs littéraires (Stalkeuses, Québec Amérique, 2019; Cruelles, Tête première, 2020), ainsi que des dossiers de recherches académiques.
Marion Gingras-Gagné poursuit actuellement des études doctorales en littérature à l’Université du Québec à Montréal, où elle est dirigée par Lori Saint-Martin. Ses intérêts de recherche vont des études féministes à la culture populaire, en passant par la littérature québécoise contemporaine, les contes et la littérature jeunesse. Elle a publié des articles scientifiques dans Pop-en-stock, Postures et FéminÉtudes, ainsi que des nouvelles de création dans les revues Cavale, Nyx et Zeugme. Elle est auxiliaire d’enseignement à l’UQAM et œuvre dans le milieu de la critique en tant que collaboratrice pour la revue Lurelu. Elle est boursière du FRQSC.
Marion Gingras-Gagné poursuit actuellement des études doctorales en littérature à l’Université du Québec à Montréal, où elle est dirigée par Lori Saint-Martin. Ses intérêts de recherche vont des études féministes à la culture populaire, en passant par la littérature québécoise contemporaine, les contes et la littérature jeunesse. Elle a publié des articles scientifiques dans Pop-en-stock, Postures et FéminÉtudes, ainsi que des nouvelles de création dans les revues Cavale, Nyx et Zeugme. Elle est auxiliaire d’enseignement à l’UQAM et œuvre dans le milieu de la critique en tant que collaboratrice pour la revue Lurelu. Elle est boursière du FRQSC.